How about me ? Alias: Poison Ivy Disponibilité : Actif sur Gotham
Pamela Isley
" Living like i'm a renegade "
❝ Des Renoncules pour Narcisse ❞
Queen Industries. Une des bêtes noires de Poison Ivy. Comme à peu près toutes les grandes sociétés qui gangrénaient la ville de Gotham. Elles étaient toutes plus horribles les unes que les autres. La ville n’était pas un exemple d’écologie, pour commencer. Et l’abondance de ces grandes compagnies n’aidait en rien. Que ce soit dans le traitement des déchets, dans l’import de marchandises et de matières, ou dans leurs activités, aucune de ces sociétés ne faisaient quoi que ce soit pour améliorer l’état de la planète. Pas le moindre geste. Absolument rien. C’était beaucoup plus simple de récolter l’argent, et de se donner bonne conscience en faisant quelques dons par-ci par-là. Il est plus facile de donner de l’argent pour les enfants défavorisés que de leur offrir un futur au moins respirable.
C’était là qu’Ivy entrait en jeu.
Il fallait qu’elle fasse quelque chose. Même si ce n’était qu’elle. Après tout, elle avait de la ressource. S’il y avait bien quelqu’un que ces entreprises devaient craindre, c’était elle. Elle avait su montrer qu’elle n’était pas une criminelle de seconde zone, une de ces « méchants de la semaine », qui n’apparaissait que dans un épisode d’une série avant de disparaître à tout jamais du scénario. Elle était redoutable, elle était féroce, et elle avait un plan. Et elle avait décidé de commencer ici. C’était purement arbitraire, il fallait bien qu’elle commence quelque part, après tout. Et puis, le PDG de la société l’insupportait au plus haut point. Un playboy sans cervelle, narcissique comme personne, qui se souciait peu de l’impact écologique que pouvait avoir la compagnie que lui avaient laissé ses parents. Et qui conduisait des voitures aux moteurs les plus puissants et les plus polluants, comme si cela n’était qu’une bagatelle. Ivy connaissait ce genre de garçon. Elle les avait côtoyé plus jeune. Tous des imbéciles, qui ne voient pas plus loin que le bout de leur égo.
Elle était arrivée devant la plus grosse usine gérée par Queen à Gotham. Elle se trouvait au bord du fleuve, parmi tout un tas d’autres usines du même acabit, et elle pouvait, de là où elle était, sentir les produits toxiques se mélanger à l’eau crasseuse, créant un mélange étouffant de vase et de chimique qui lui donnait presque la nausée. Elle sentait les algues et les plantes qui tapissaient le lit du cours d’eau mourir à petit feu, l’appeler à l’aide, lui demander de leur faire justice. La justice qu’on leur refusait, car le commun des mortels ne voyait en ses plantes que des nuisibles, des déchets à faire disparaître. Hors, tout ceci était faux, ces plantes avaient tout autant, si ce n’est plus, le droit d’occuper la rivière que les humains. L’arrogance classique de la race humaine.
Son but était simple : elle allait détruire cette usine. Et toutes les autres aux alentours. Et, si tout se passait bien, elle irait au cœur du problème : les sièges de ces sociétés. Là où des hommes en costumes, au col blanc bien repassé par une femme de ménage sous-payée, se remplissaient le porte-monnaie tout en scellant le sort de la planète sur laquelle ils vivaient. A ce niveau-là, ce n’était plus se tirer une balle dans le pieds, mais directement dans le crâne. Cela échappait totalement à Ivy : la technologie et l’argent n’allait pas les sauver de la pollution et de la mort de la planète. Cela faisait plus de trente ans que les experts scientifiques tiraient la sonnette d’alarme. Mais, dans ce triste monde, si ce qu’ils ont à dire ne permet pas aux riches industriels de se remplir les poches, alors ce n’est pas assez intéressant pour être pris en compte.
Lentement, Poison Ivy leva les bras. Elle se concentra, cherchant au travers de la sève les plantes aux alentours. Une fois qu’elle les eut trouvées, elle en prit le contrôle. C’était comme si elle était un général menant ses troupes, face à l’ennemi. Ce n’était pas que sa guerre, c’était aussi leur guerre. L’harmonie était parfaite. Sublime. Elle fit pousser une longue tige, assez forte pour percuter et abattre un des murs du bâtiment. Celui-ci tomba comme un château de cartes, révélant l’intérieur de l’usine. Ivy entra, suivit de ses plantes, prête çà tout détruire à l’intérieur.
How about me ? Alias: Green Arrow Disponibilité : Actif sur Gotham
Oliver Queen
" Now my watch begins "
❝ Des Renoncules pour Narcisse ❞
Il y’avait toujours des crises à gérer, surtout quand on est le patron d’une grande entreprise. Il fallait gérer les grèves, bien que rare. Il fallait gérer la concurrence. Être le grand patron à parfois quelques désavantages. Certes, le bureau aussi grand qu’un pentahouse décoré avec les plus beaux et plus chers meubles de la ville font souvent oublier ces moments moins sympathiques. Certes, le salaire à plus de quatre chiffres à la fin du mois vaux la peine. Et puis, il existait des spécialistes pour gérer ces « crises » non ? Le grand PDG n’était jamais seul. Et sur la question écologique, question de plus en plus urgentes, il avait quelques personnes pour le conseiller. Il ne fallait pas faire n’importe quoi.
Aujourd’hui, au fond de son bureau, Oliver se demandait qu’elle aurait été sa vie s’il n’avait pas hériter de cette société et de la fortune de ces parents… Est-ce qu’il aurait mené une telle vie ? Surement pas. Déjà il n’aurait échoué sur cette île. Il n’aurait pas appris à manier l’arc comme personne. Il n’aurait pas cette double vie, aussi. Il n’aurait pas rencontré Dinah… Quoi que… peut être qu’il était fait pour se croiser ? Peut-être que c’était le destin… Enfin bref…
Cette société, celle de son père lui servait grandement. Déjà oui, elle lui permettait de cacher sa double identité. Elle lui permettait aussi de créer quelques-unes de ces flèches… Très utile, donc. Et heureusement que grâce à son entreprise il avait pu commercialiser les technologies de Klara Sovaris. Il avait pu profiter ainsi de son savoir et rencontrer une amie proche.
Mais aujourd’hui, Oliver ne pouvait pas se laisser aller à des rêveries et d’autres questions sur sa vie, sur sa société. Déjà, pour commencer, il y’avait du travail qui l’attendait… Et plus important que ça… Il y avait une urgence à gérer, une nouvelle crise.
Le téléphone sonna, c’était une des entreprise qui se situait près de la rivière, pas loin de la grande tour dans laquelle Oliver travaillait, c’était là-bas que tout était produit, enfin, c’était un des local. Il y’en avait un autre à Gotham. Les plus gros se trouvait à Star City, ville d’origine du playboy. C’était étrange qu’il appelle ? Surtout directement au bureau du PDG... Est-ce qu’il savait que ça n’était pas à lui de gérer les problèmes de livraison en retard ? Le blond finit finalement par décrocher ce téléphone.
« Oui ? »
« Monsieur Queen, on a un gros problème, mais quand je dis gros, c’est vraiment gros.. »
« Quoi donc ? Qu’est ce qui se passe ? »
« On a une espèce de folle rousse qui vient de démolir l’local avec une grosse fleur géante. »
« Vous êtes bourré ? »
« MAIS NON VENEZ VOIR ! »
Oliver arqua un sourcil soit c’était une mauvaise blague, soit... En fait il ne voyait pas ce que ça pouvait être d’autre. Il ne comprenait pas vraiment ce qu’il se passait, mais il savait que ce n’était pas à Oliver Queen d’intervenir, même s’il s’agissait d’un de ses local. Il soupira et alluma la grande télévision qui se trouvait dans son bureau. Bien entendu, comme il s’y attendait une bonne partie des chaînes d’informations et leurs journalistes en avaient fait un flash spécial. Il fallait qu’il y ait, qu’il arrête cette fille et qu’il comprenne surtout ces motivations. Génial, une nouvelle méchante avec pouvoir à combattre.
« J’adore cette ville. »
Oliver ne pouvait pas y aller costumer pour le moment, même s’il savait que c’était la solution, seul un justicier pourrait l’arrêter. Mais s’il n’allait pas voir ses employés avant, il aurait des problèmes, déjà moralement puis avec l’opinion public… Et surtout, il fallait qu’il aille parler aux journalistes. Bref, il ira l’affronter, mais après il fallait régler le coté civil de la chose avant. Et s’assurer que les journalistes ne fassent pas le rapprochement entre lui et l’archer vert… Mais ça faisait des années qu’ils ne l’avaient toujours pas fait. Oliver descenda rapidement la grande tour pour rejoindre le hall, où le chauffeur/majordome Simon Lowell l’attendait.
« Montez monsieur. » ce dernier ouvrit la portière, laissant le PDG s’installer, et puis, direction le local avant que ça ne dégénère. « Je vous souhaite bien du courage. Elle n’a pas l’air commode. Appelez-moi si besoin, d’ailleurs. »
« Vous ne savez rien sur elle ? »
« Je vais me renseigner, mettez l’oreillette, je vous communiquerais ce que je sais, ce que j’apprends.»
« Merci Simon, restez à l’abri »
Et voilà, Oliver était maintenant sur les lieux, il pouvait admirer l’œuvre de la femme… Et en effet, ce coin de Gotham n’avait plus rien d’une ville, mais plutôt d’une jungle. Et merde, ça allait être compliqué… Bon… Il fallait aller voir les employés… En sortir quelques-uns… En espérant que personne n’était assommée, blessée ou même mort. Ça serait horrible.
Comme le milliardaire s’y attendait, des hommes et des femmes se trouvaient allongé sur le sol. Et merde. Oliver voyait les secours au loin, il n’avait qu’à les faire sortir. Il pouvait le faire, il n’était pas si nombreux que ça et par chance aucune briques ne c’était écrouler sur eux… Peut-être qu’ils s’étaient juste évanouis à cause de la peur ? Espérons, c’est le scénario le moins tragique. Mais les plans de notre PDG allaient se compliquer. La rousse était devant lui. Bon, ça allait être … funky.
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Pamela Isley
" Living like i'm a renegade "
Son coup avait attiré l’attention. Les caméras des télévisions locales étaient déjà là, en train de la filmer détruire l’usine. Elle avait fait pousser des plantes un peu partout, pour remplacer les murs qu’elle faisait tomber au fur et à mesure qu’elle avançait. L’usine ressemblait maintenant à une petite forêt tropicale, dont le sol était jonché des cadavres des employés. Dommage. Ils n’étaient pas vraiment les responsables des déchets de l’usine, certes, mais ils restaient tout de même fautifs, en acceptant de participer à ce crime contre la nature. Maintenant, ils pourraient par leur corps nourrir la Terre, et les végétaux qu’ils avaient blessés de leur vivant. Ce n’était que justice.
Les sirènes des pompiers, ambulanciers et policiers commençaient à se faire entendre au loin. Elle pourrait les arrêter assez facilement, pour continuer son œuvre, mais il fallait qu’elle soit prudente. Hors de question de se faire arrêter, elle avait passé assez de temps enfermée dans sa vie. Et ce n’était pas bon pour une plante de passer du temps à l’ombre, au contraire. L’usine était désormais totalement inutilisable, elle pouvait partir. Mais il fallait qu’elle fasse entendre son message d’abord, qu’elle éclaircisse ses intentions. Cela n’avait pas beaucoup d’utilité de faire un coup aussi impressionnant sans laisser de signature derrière.
Alors qu’elle se préparait à ressortir de l’usine, un homme apparut en face d’elle. Ce n’était pas un employé assez téméraire pour se frotter à elle, ni un policier qui serait arrivé avant son équipe, ni même un justicier. Non, non, c’était le propriétaire des lieux, Oliver Queen en personne. Parfait. Elle allait pouvoir régler ses comptes avec cet homme qu’elle avait en horreur. Oh, il était loin d’être le seul, il y avait Bruce Wayne, aussi, et Lex Luthor, parmi les plus médiatiques. Quoi qu’avec le dernier, sa haine était beaucoup plus personnelle que pour les autres. Enfin, elle avait une chance de faire passer son message, elle n’allait pas se priver.
« Monsieur Queen, bonjour ! Je ne pensais pas vous voir en personne ici, je vois que vous avez eu vent de ma petite action. »
Elle avait sa voix douce et langoureuse, celle qu’elle utilisait pour manipuler son monde. Les hommes y étaient particulièrement sensibles. Enfin, ils étaient surtout sensibles à son physique avantageux, car, il fallait le dire, Ivy était une belle plante. De plus, parmi les dons qu’elle avait acquis lors de sa transformation en hybride plante-humaine, elle était capable d’émettre des phéromones, qui lui permettaient de manipuler quiconque les respirait. Une capacité tout à fait utile pour se sortir de certaines situations parfois embarrassantes. Ça lui avait aussi permis de faire les poches de plusieurs hommes, plus proches du porc que de l’être humain. Au moins, le milliardaire qu’elle avait devant elle était agréable à regarder, c’était là la seule qualité qu’elle lui trouvait.
« J’espère que vous ne m’en voudrez pas trop, j’ai pensé que l’endroit avait besoin d’un petit rafraichissement. Voyez-vous, je me suis dit que quelques plantes seraient du plus bel effet, vous n’êtes pas d’accord ? Je pourrais aussi venir redécorer votre bureau, si cela vous chante ! »
C’était purement de la provocation, mais c’était plus fort qu’elle. Il faisait partie de la caste de ceux qui l’horripilaient, elle pouvait bien se moquer un peu de lui, maintenant qu’elle lui avait pris une de ses usines. Et puis, il était seul, un simple homme, face à elle, une femme avec un immense pouvoir, comme rarement vu auparavant. Il ne pouvait pas lui faire grand-chose, au contraire, c’était à lui d’avoir peur d’elle. Elle le fixa, un sourire mutin sur les lèvres. Quoi qu’il avait à lui répondre, il n’arriverait pas à la faire arrêter aussi facilement. Elle ne céderait pas à un égo surdimensionné.
« J’imagine que vous voulez qu’on parle, que vous aller me demander d’arrêter sur le champ. La police est en route, non ? Qu’ils viennent, je n’ai pas peur d’eux. Si je suis ici, Monsieur Queen, c’est uniquement pour vous. Enfin, pour votre société. J’ai remarqué que vous n’étiez pas vraiment au point niveau écologie, et il faudrait vous réveiller, vous avez, quoi, trente ans de retard ? Du coup, je vous ai mâché le travail, j’ai rasé l’usine à rénover. »
Nonchalamment, elle passa une mèche de ses cheveux derrière son oreille, en attendant d’entendre ce qu’avait à lui dire le grand patron. Qu’il fasse vite, elle n’avait pas le temps de l’entendre supplier.
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Oliver Queen
" Now my watch begins "
❝ Des Renoncules pour Narcisse ❞
Bien que le réflexe d’Oliver ait été d’allumer la télévision, les chaînes d’informations n’avaient pas donné le nom de cette femme et le PDG ne l’avait jamais vu avant qu’elle fasse parler d’elle avec cette action. Mais, maintenant il se trouvait en face d’elle, c’était le moment d’en apprendre plus. Et puis, la femme ne le savait pas mais, il avait Simon en ligne, il attendait des informations grâce à l’oreillette, pour le moment il n’y avait rien mais ce n’était qu’une question de temps.
En tout cas, il était clair qu’il s’agissait d’une méta-humaine avec pour le coup un pouvoir assez reconnaissable, celui du contrôle sur les plantes. Pas mal comme pouvoir ! Les plantes nous entourant, elle avait le moment de faire mal, très mal, comme aujourd’hui en fait.
Le blond se demandait s’il ne préférait pas ceux-ci aux pouvoir de Dinah, parce que quand elle criait, c’était quelque chose, quand même. Enfin, souvent c’était pour remettre les gens à leur place, elle n’avait jamais vraiment haussé le ton à la maison. Elle avait déjà recadré l’archer lors de sortie en duo, au début… Après… un « accident » arrivait vite, et le canari pouvait s’emporter et user de sa voix n’importe quand… Enfin, ce n’était pas le sujet du jour.
Bref, la jeune rousse commença à prendre la parole. Et clairement, c’était une attaque ciblée puisqu’elle connaissait Oliver, il avait bien préparé son cou. Enfin, après, le milliardaire avait tendance à zapper qu’il était connu dans la ville entière et que ses bâtiments étaient « décorés » de grande pancarte pour les usines et d’une enseigne à néon pour le building. Et, ils portaient tous son nom en gros. Facile à repérer du coup. En tous cas, pendant qu’elle racontait sa vie, le travail de Simon avait porté ses fruits.
« Monsieur, j’ai trouvé : Pamela Isley ; jeune fille de bonne famille, elle a cependant effectué un passage en maison de correction pendant sa jeunesse. Visiblement, c’est une écoterroriste et vous semblez visiblement être la cible du jour. »
La fille parlait, encore et encore, elle provoquait encore et encore, mais Oliver ne l’écoutait pas vraiment il l’a surveillait juste, histoire de savoir si elle allait attaquer ou pas. Ce qu’on pouvait dire c’est que cette demoiselle avait clairement confiance en elle, les pouvoirs aidant sûrement. Elle avait raison, face à Oliver, elle était gagnante à cent pour cent. En civil, il ne pouvait pas gagner mais, il avait bien sûr tout prévu, Simon l’attendait dehors. Alala, heureusement qu’il était là ce monsieur Lowell.
Un combat entre cette écoterroriste et le Green Arrow était inévitable, c’est sûrement le seul moyen de l’arrêter. Et si elle voulait jouer la provoc’ elle était tombée sur une vraie tête de con quand il le voulait. « Ah, si c’était une réclamation, fallait passer au premier étage, ma secrétaire adoooore bavarder. Mais pourquoi faire la drama queen, tout de suite ? »
Oliver croisa les bras avant de poursuivre. « Mais bon, j’imagine que c’est comme ça qu’on fait pour se faire entendre dans une maison de correction. N’est-ce pas, Pamela ? »
A son tour, un sourire provoquant illumina le visage du chef d’entreprise. « Vous n’êtes pas la seule à être venu préparer. »
Oliver aurait pu réagir autrement, la calmer, mais clairement il savait qu’il était face à quelqu’un d’irraisonnable. En fait, les propos sur l’écologie de cette méta-humaine n’était pas totalement faux, il était même plutôt vrai, beaucoup d’entreprise polluait sans se soucier de quoi que ce soit, et des efforts étaient à faire. Oliver faisait comme il pouvait pour s’améliorer sur ce point, mais bon… Ce n’était pas un expert, elle avait raison là-dessus. Le problème de la fille, c’est qu’elle n’avait utiliser la bonne forme pour parler, c’était maintenant elle la méchante.
Au fond, Ollie s’en fichait un peu du matériel, certes, ça allait prendre du temps et de l’argent, mais c’est surtout que beaucoup d’employés allaient maintenant être au chômage technique… En plus, ils viennent quasiment tous de Park Row, ce sont clairement des gens qui ont besoin de cette argent…. Quoi qu’il en soit, il fallait qu’il arrête de la provoquer, elle allait réagir, et vu ses pouvoirs il fallait bien faire attention. Il n’avait sûrement pas apprécié que le ton langoureux qu’elle avait employé sur le PDG n’ait pas marcher, il était bien trop amoureux de son canari pour se laisser avoir comme ça. Oui, il y’a quelques années ça aurait fonctionné, après tout, même s’il était face à une mauvaise graine, c’était quand même une belle plante.
Oliver plongea sa main dans sa poche, il avait une espèce de petite bombe fumigène, c’était le même truc qu’il installait sur ses flèches. Il en avait fait des « portables » pour ce genre de situation, en fait. Il saisit le petit matériel et le jeta aux pieds de Pamela. Comme ça, après il pouvait s’enfuir le temps qu’elle reprenne ses esprits. La méthode était un peu archaïque, utiliser des fumigène mais ça avait toujours son petit effet : celui de fonctionner. La jeune fille était bien trop inexpérimentée dans sa vie de méchante. Oui, elle était puissante. Mais, pas invincible.
Comme prévu, l’homme profita de cet instant pour rejoindre son majordome qui l’attendait dehors, à l’écart loin de la police, des secours et des chaînes d’informations, les fameuses. Dans le véhicule il y avait son costume de justicier, son carquois et les flèches. Oliver mit son masque et tout l’ensemble. Il se demandait pourquoi il n’avait pas pensé à y aller en justicier en premier temps, en fait, il pensait qu’il aurait eu le temps d’aller calmer les journalistes. Journalistes qui ont le don de dire de la merde parfois et de surtout faire paniquer les habitants.
Il ne savait pas quelle réaction avait eu la méta humaine, clairement il avait dû l’énerver. La fille le haïssait déjà, maintenant c’était pire, il n’avait rien dit pour améliorer son cas. Mais au moins il ne s’était pas rabaissé avec des « oui oui mais il n’y a pas que moi à Gotham » il n’avait pas bégayé en la voyant, bien qu’elle soit super puissante.
Maintenant, il fallait aller l’arrêter, elle avait se demander où il était passé se cacher. Enfin, elle se dirait surement qu’il avait fui. Vu l’estime qu’elle avait pour lui, elle ne pouvait pas se douter que c’était l’archer vert, elle ne le voyait que comme un stupide playboy millardaire qui pollue. Mais de toute façon il y avait un souci dans cette ville, personne ne devinait qui se cachait sous les masques de justiciers ou même de vilains… Peut être que tout le monde voulait laisser régner cette anonymat ? Ou alors ils étaient trop stupides, hm, c’était une option aussi. Puisque maintenant tout le monde voulait la peau des justiciers… La vie de vigilante, c’était plus facile avant, vraiment.
La rousse était encore là, Oliver ne voyait pas trop ce qu’elle faisait, mais bon, il fallait qu’il soigne son entrée.
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Pamela Isley
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Ivy avait choisi de provoquer, mais elle ne s’attendait pas à ce que Mr. Queen soit aussi provocateur qu’elle. Elle fronça les sourcils. Apparemment, le grand patron de Queen Industries était quelqu’un qui appréciait l’humour… Encore un imbécile. Il était encore pire que ce qu’elle s’était imaginée. Et, est ce qu’il venait vraiment de la traiter de « drama queen » ? Ce n’était pas du « drama », c’était un vrai combat. Elle avait un vrai message à faire passer, ce n’était pas un caprice de petite fille. Elle allait adorer l’écraser, comme le vulgaire déchet qu’il était à ses yeux. Mais avant qu’elle ne put répliquer quoi que ce soit, Oliver Queen fit une référence à sa jeunesse, et l’appela par son prénom. Comment avait-il fait ? Il ne pouvait pas savoir qui elle était, pas aussi facilement. Elle fit de son mieux pour garder un calme apparent, mais elle bouillonnait à l’intérieur.
« Je vous déconseille de faire l’imbécile avec moi, Monsieur Queen. Vous pourriez amèrement le regretter. »
De toute façon, c’était elle qui avait le dessus pour l’instant. C’était elle qui avait les pouvoirs, la force, et l’attention du public. S’il fallait, elle envoûterait grâce à quelques phéromones, histoire de l’avoir à sa botte. D'ailleurs, ce serait pratique, d’avoir un homme aussi riche et aussi influent sous ses ordres. Peut être que ce serait ça, sa prochaine action. Envoûter Oliver Queen, et se servir de ses ressources pour faire avancer la question de l’écologie à Gotham City. Oui, c’était une bonne idée, une excellente idée même. Elle allait avoir besoin de moyens, de beaucoup de moyens, si elle voulait que son plan se déroule du mieux possible, et c’est ce qui lui manquait le plus. Il fallait qu’elle mette ça en place.
Malheureusement, elle avait mis un peu trop de temps pour réfléchir, et elle avait laissé le temps à Queen de réagir de son côté. Quelle idiote ! Rah, il fallait qu’elle s’améliore sur ce côté… Vraiment, elle s’était fait avoir comme une bleue, et elle avait perdu le PDG de vue. Bon, si ce n’était que ça… Il allait regretter de s’être moqué d’elle de cette façon. Fini le calme de façade. Il voulait jouer ? Elle allait jouer. Elle commença par terminer de détruire ce qui restait de l’usine, en abattant les derniers murs. Les derniers survivants avaient sûrement réussi à s’enfuir pendant son petit dialogue avec Queen. Tant mieux pour eux, même s’ils auraient mérité de finir sous les décombres pour ce qu’ils faisaient dans cette usine. Pour mettre sa marque sur l’endroit, comme une signature sur son œuvre, elle se concentra pour faire pousser un parterre de fleurs, parmi les décombres. De quoi attirer des abeilles, recréer un peu de faune et de flore dans le coin.
Elle pensait en avoir fini ici. L’usine n’était plus, la nature était, mais apparemment, quelqu’un d’autre avait décidé de venir chercher les ennuis. Elle se retourna. C’était le Green Arrow. Ivy leva les yeux au ciel. Elle devait l’avouer, elle s’attendait bien à ce qu’un justicier vienne tenter de l’arrêter, mais là, c’était un peu trop tard, le bien était fait. Elle se tourna complètement vers lui et croisa les bras. S’il pensait l’impressionner, c’était raté. Elle était de loin plus puissante que lui, peu importe à quel point il maîtrisait l’archerie. Un microbe comme lui ? Elle pourrait l’écraser, l’envoyer valser d’un coup de liane ou de ronce. Si elle s’était retrouvée contre sa partenaire, Black Canary, là il y aurait eu un challenge.
« Green Arrow. Je peux t’aider, peut-être ? Tu arrives après la guerre, comme tu peux le voir. Et je n’ai pas le temps d’entendre tes remontrances non plus, j’ai beaucoup, beaucoup mieux à faire. »
D’un geste dédaigneux de la main, elle envoya plusieurs tiges de ronce vers lui. Elle irait bien l’embrasser, pour s’en débarrasser plus vite, mais si elle pouvait s’amuser un peu avec lui d’abord, ça lui apporterait un peu de divertissement.
« Pas trop mal, j’espère ? Tu devrais rester à terre, c’est juste un conseil. Je n’hésiterais pas à te massacrer si tu me cherches. »
Connaissant la réputation du justicier, elle savait qu’il ne resterait pas à terre.
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Oliver Queen
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❝ Des Renoncules pour Narcisse ❞
Clairement cette méta-humaine avait confiance en elle, c’était une force puisqu’elle avait comme cela réussit à arriver ici pour faire son show. Sauf qu’il fallait qu’elle réalise que son petit spectacle avait entraîné la mort de certains employés, Oliver ne connaissait vraiment le bilan des blessés et des morts pour le mort, il savait juste qu’elle avait fait un sacré bordel et qu’elle allait payer pour cela. Réparer l’entrepôt allait couter chère, mais actuellement il s’en foutait sacrément, il voulait juste qu’elle se rende compte de ce qu’elle faisait, ce qu’elle avait fait et le meilleur moyen pour cela c’était de la faire retourner en prison, visiblement son petit séjour du passé ne lui avait pas suffi, certains psy ou autre spécialistes diraient que justement, la rendre dans un endroit l’ayant traumatisée n’était pas une idée et l’aidait à nourrir de nouvelles idées pires, mais concrètement le justicier voulait juste l’empêcher de nuire, être sûre qu’elle n’utiliserait pas ses pouvoirs pour continuer à blesser… C’était vraiment dommage parce qu’elle avait des revendications louables déjà, et elle pouvait changer voir améliorer beaucoup de choses si elle le souhaitait. Mais elle était là, dans un entrepôt démoli qui ressemblait à une jungle à vouloir faire la belle. iver posa sa main sur le sol, l’herbe était fraîche, ça n’avait vraiment plus rien à voir avec l’entrepôt que le PDG connaissait, le béton du sol avait fait place à une végétation, et déjà, l’endroit ressemblait à ces bâtiments qu’on avait laissé pourrir au moment des explosions, ça devrait surement n’être plus que des squats maintenant d’ailleurs. Il fallait qu’il pense vite, agisse vite, parce que la rapidité était son point fort… Et le point faible de la rousse… Hmm… il devait y en avoir pas mal, même si elle était ultra puissante, après tout, c’était une plante et si les humains avaient bien réussit quelque chose durant leur existence, c’était détruire la flore et la faune. Le riche savait que dans son carquois il avait de quoi la calmer un petit temps, une flèche cristallisante, une flèche « chauffante » il avait plein de truc, même des explosifs, mais ça préféré, il devait l’avoué ça restait la classique gang de boxe.
« Ma biche, moi aussi j’ai mieux à faire. »
Le justicier banda son arc et visa dans les cuisses de la rousse. Il avait envoyé une flèche, qui, avait une pointe comme une seringue c’était assez complexe mais en gros elle allait rester bloquée sur place un petit temps… Elle avait encore de l’humain en elle ça allait marcher.
« Ton petit séjour en maison de correction te manque je vois… T’inquiètes tu vas vites y retourner. »
C’est vrai, il y avait des endroits pour les méta-humains, des pièces, au mieux, enfin c’est ce qu’imaginait Oliver, en réalité, il savait que ce n’était que des cages, d’un côté ça l’embêtait un peu puisqu’il s’avait que derrière ces méta se trouvait des humains, des gens… Il le savait plus que personne, Dinah en était une et son bébé aussi… Et les imaginer dans une cage, c’était un gros non. Oliver savait que son produit faisait effet, il pouvait s’approcher d’elle pour la ligoter, mais elle avait encore les bras valide et son produit n’était pas éternel. Il fallait l’arrêter, mais il n’était pas assez armé aujourd’hui. Il fallait qu’il la laisse partir aujourd’hui, mais pas sans une idée derrière la tête : il allait faire en sorte de la pister, pour la surveiller… C’était pour son bien dans un sens… Il trouverait avec Simon… Mais là il devait partir. La police aurait peut être de quoi l’arrêter, il y avait un service pour les métas.. Tiens, ça donnait une idée à Oliver, peut être qu’il devrait travailler pour faire en sorte qu’ils soient mieux traité ?
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Pamela Isley
" Living like i'm a renegade "
S’il y avait quelque chose qu’Ivy ne supportait pas, c’était qu’on la prenne pour une idiote. Ou qu’on lui donne des petits surnoms paternalistes, comme ce que venait de faire Green Arrow. « Ma biche », sérieusement ? Pour qui se prenait-il ? S’il cherchait à l’énerver, il allait tout gagner, elle allait lui faire regretter d’avoir osé s’adresser à elle de cette façon. N’avait-il pas vu ce qu’elle avait fait à l’entrepôt derrière lui ? Ce dont elle était capable ? Certes, elle savait qu’il n’était pas du genre à laisser tomber facilement, mais il y avait une différence entre le courage et la simple bêtise.
Malheureusement, cet idiot avait de la ressource dans son carquois, et il était rapide… Trop rapide. Avant même qu’elle ne puisse réagir, il lui avait tiré une flèche dessus. Une flèche tranquillisante ? Bien joué, elle sentit ses jambes la lâcher et se rattrapa in extremis avant que son front ne touche le sol. Etait-ce parce qu’elle n’était pas à cent pour cent humaine que le produit ne marchait pas totalement ? Elle avait encore le contrôle de ses bras, c’était une bonne nouvelle, elle allait pouvoir se défendre. Hors de question qu’elle se laisse attraper, qu’elle soit jetée en prison. Hors de question qu’elle soit enfermée à nouveau. Elle avait trop de choses à faire encore, trop de choses à accomplir. Les plantes avaient besoin d’elle, la nature avait besoin d’elle, pourquoi cet imbécile ne pouvait pas le comprendre ? Personne ne le comprenait, ça la rendait complètement folle de rage.
Elle le regarda du coin de l’œil. Il n’était pas trop loin, ça devrait le faire… Elle serra les dents, serra le poing et se concentra pour faire pousser une liane et la lancer contre Green Arrow, aussi fort qu’elle le pouvait. Assez pour lui faire parcourir quelques mètres par les airs. Elle se hissa ensuite sur cette même liane, à la force de ses bras. Un peu de hauteur lui permettrait d’avoir le dessus sur son adversaire. Que faire de lui ? Le tuer ? Tsss, un peu trop simple… Elle avait d’autre chat à fouetter, après tout, il n’était qu’un petit obstacle après tout, une pauvre miette, rien d’autre. Ça ne servirait pas à grand-chose de prendre cette peine, il fallait juste qu’elle lui fasse comprendre qu’il allait regretter si jamais il essayait de se remettre en travers de son chemin.
« Je te préviens, Arrow, je n’apprécie pas vraiment ce ton. Ni ton petit tour, avec ta flèche. Je te l’ai dit, tu ferais mieux de rester à terre, je n’ai pas le temps pour toi. »
Joignant le geste à la parole, et se forçant à lutter contre le produit qu’il lui avait injecté, elle le plaqua au sol à l’aide de quelques ronces. Elle sentit une goutte de sueur perler sur son front, due à l’effort qu’elle était en train de fournir pour tout maintenir sous son contrôle. Elle espérait juste qu’il ne le verrait pas et qu’il n’en jouerait pas. Elle commençait vraiment à fatiguer… Elle devait juste tenir encore un peu, pour lui faire lâcher l’affaire en premier. Hors de question que ce soit elle.
How about me ? Alias: Green Arrow Disponibilité : Actif sur Gotham
Oliver Queen
" Now my watch begins "
❝ Des Renoncules pour Narcisse ❞
Super, Ivy était au sol, Oliver avait réussit à l’empêcher de continuer sa petite scène, c’était déjà ça, ça lui permettrait de comprendre qu’elle n’était si forte qu’elle le pensait, même une petite flèche avec un tranquillisant pouvait l’arrêter. Oliver se serait bien montrer insolent et sarcastique qu’a son habitude en la narguant mais il ne fallait pas abuser, quand même.
Puis… Elle avait quand même encore l’usage de ses bras. Oliver savait qu’il devait réagir vite : partir où tenter coûte que coûte de l’attraper ? Il n’était vraiment pas assez préparer pour l’arrêter. Mais il pouvait continuer de lui faire passer un message, au moins. Il tenta de saissir une nouvelle flèche de son carquois pour…
Merde.
Cette fois, c’est celle qui avait été plus que rapide, il s’est retrouvé sur le sol, bloquer par des ronces. Il grimaça de douleur, elle avait serrer les liens et il sentait la pression s’intensifier au fur et à mesure. Il devait trouver une solution et très rapidement, sinon elle allait gagner, et elle allait gagner de la pire des façons possible : Elle avait le tuer !
« Pourquoi est-ce que tu choisis ce chemin ? Je ne te demande pas d’être silencieuse, mais un peu plus pacifiste. Réfléchis au conséquences de tes actions ! Pourquoi pas essayer de cultiver les gens plutôt que de faire le bordel ! »
Le point de vue d’Ivy était défendable, l’Homme était un animal, le pire des animal et il détruisait tout sur son passage. Ivy avait raison le système devait changer, les Hommes devaient comprendre qu’avant eux les plantes étaient-là. Certains étaient d’accord avec la rousse ; le pacifisme était dépasser on ne pouvait plus rien avoir avec ce comportement. Oliver lui ? Il pensait surtout qu’il fallait qu’elle arrête de s’en prendre aux civils. La plupart des gens manquaient d’éducation vis à vis de l’importance de la nature pour l’Humain, la faute à un système instaurer depuis longtemps. Oui, le milliardaire était un pur produit de ce système, oui si sa famille vivaient aussi bien c’était grâce au système. Mais-là ou Oliver se différenciait, c’est qu’il tentait de rester ouvert, de comprendre le monde qui l’entourait. Il avait très bien compris qu’il fallait maintenant évoluer, qu’il fallait arrêter de polluer et cela malgré le fait qu’il ait une entreprise, le changement n’était pas assez rapide, mais il arrivait, cette plante folle n’avait pas besoin de tout gâché avec un extrémisme qui ferait peur aux gens. Ils reculeraient et partiraient sur des acquis qui marchaient et qui ne blessaient personne, du moins en apparence. Si Ivy était ouverte, il pourrait discuter avec elle, il pourrait voir avec elle comment utiliser ses pouvoirs de manière utile et judicieuse mais sa mission l’aveuglait, ses pouvoirs l’avaient rendu complètement folle. Mais non, il était trop occupé à tenter de se sortir de ces ronces.
Green Arrow devait faire en sorte que l’emprise qu’elle avait sur lui par le biais des ronces cesse. Il fallait qu’il détourne son attention, mais comment ? Il voyait qu’elle se fatiguait, il y avait quelque chose à explorer, mais elle était tenace. Si n’était pas maintenu comme ça il lui aurait lancer un autre sédatif, comme un produit qu’on utiliserait contre une mauvaise herbe, pas pour l’éliminer, mais au moins pour s’en sortir, lui. Bon, et pour que parallèlement, elle soit attrapé et enfermé à Blackgate… Même si Arkham était plutôt sa place. Peut-être qu’avec un bon programme elle retrouverait le bon chemin ? Elle n’avait pas eu un parcours de vie très facile jusque ici.
Mais pourquoi utiliser un autre produit de toute façon ? Oliver sourit, il avait une idée derrière la tête. Le feu était encore la meilleure arme contre elle, il n’allait pas mettre le feu, non. Il allait jouer sur ses peurs, elle avait sûrement peur d’être détruite, pire que sa création ici soit détruite, que les plantes soient brûlés tels les arbres qui sont brûlé en Amazonie. Aucun doute pour le blond, cela devait être une de ses pires craintes.
« Même si tu refuses de réfléchir, fais au moins attention à ce qu’on ne meurt pas brûlé ! Regarde derrière toi ! »
Bien joué, elle se retourna sans réfléchir, lâchant l’emprise qu’elle avait sur l’archer, il se leva, décocha une flèche grimpa pour atterrir sur une plateforme ayant résister à l’invasion de la méta humaine, il courra jusqu’à la sortie. Il était sain et sauve après un combat contre une méta : Super. Oui, par contre, il allait avoir quelques bleus après cette confrontation. Il savait qu’elle allait tomber à cause du produit, la police l’attraperait, il était loin d’imaginer qu’elle était plus résistante que ça.
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